L'étranger est mon voisin
« Les gens ont pris conscience que l'étranger n'était ni un concurrent sur le marché du travail ni un clandestin, mais un voisin avec qui ils vivent.(.. ) Il y a une lente prise de conscience de l'absurdité de la fermeture des frontières à l'heure de la mondialisation. » Catherine Wihtol de Wenden, universitaire, chercheuse à Sciences-Po, dans une interview au Monde.