L'usine lumière
Feu la Poudrerie
Le ciel était en feu, ce soir, au-dessus de la SNPE.

La Société Nationale des Poudres et Explosifs, ex-Poudrerie de Toulouse, a une nouvelle fois changé de nom après l'explosion de l'usine AZF, voisine. Feu-la SNPE préfère se faire désormais appeler Isochem, manière de ne plus passer pour une poudrière...
Cependant, on doit encore y produire le carburant des fusées Ariane et des missiles nucléaires.
Mais pour l'image, il vaut mieux dire qu'on y prépare des médicaments anti-cancéreux. Le futur cancéropole de Toulouse doit se construire juste derrière.

La cheminée de l'usine est toujours debout. C'est la dernière.
Moins haute que la tour rouge et blanche d'AZF, aujourd'hui démolie, elle se confond presque avec les arbres. L'ancienne zone chimique doit (presque) devenir une "zone verte".
Un feu rouge clignote au sommet, à l'attention des avions qui passent au-dessus pour atterrir à Blagnac. Voitures, camions et trains passent aussi juste à coté, sur le pont d'Empalot.

Curieusement, le secteur n'est pas au menu du concours-photo organisé par la ville sur le thème de Toulouse, lumières.

La Société Nationale des Poudres et Explosifs, ex-Poudrerie de Toulouse, a une nouvelle fois changé de nom après l'explosion de l'usine AZF, voisine. Feu-la SNPE préfère se faire désormais appeler Isochem, manière de ne plus passer pour une poudrière...
Cependant, on doit encore y produire le carburant des fusées Ariane et des missiles nucléaires.
Mais pour l'image, il vaut mieux dire qu'on y prépare des médicaments anti-cancéreux. Le futur cancéropole de Toulouse doit se construire juste derrière.

La cheminée de l'usine est toujours debout. C'est la dernière.
Moins haute que la tour rouge et blanche d'AZF, aujourd'hui démolie, elle se confond presque avec les arbres. L'ancienne zone chimique doit (presque) devenir une "zone verte".
Un feu rouge clignote au sommet, à l'attention des avions qui passent au-dessus pour atterrir à Blagnac. Voitures, camions et trains passent aussi juste à coté, sur le pont d'Empalot.

Curieusement, le secteur n'est pas au menu du concours-photo organisé par la ville sur le thème de Toulouse, lumières.